Azzaro, Chef Du Troupeau

Tylong dort à point fermé dans son box remplis de paille fraiche. Quand le soleil pointe le bout de son nez, il ouvre les yeux et baille. L'étalon finit par se lever. Il ne tomba pas à terre, malgré son manque d'équilibre, et un fois debout, il passe la tête par dessus la porte du box et observe. Le fort commence à se réveiller et les cow-boys commencent à s'agiter. Mike se lève de son lit pour à se précipiter vers son armoire. En passant, il regarde son cheval par la fenêtre. Celui-ci est immobile, explorant du regard les quatre coins du fort. Mike sourit puis ouvre son armoire de bois. Il pousse ses habits et sort une jambe de métal. Il la pose sur une chaise puis sort un pantalon et un tee-shirt qu'il enfile en moins de deux. Il passe cinq seconde dans une salle ou se trouve un miroir. Là, il coiffe avec ses mains ses chevaux bruns qui retombent régulièrement sur ses yeux gris. Une fois ses chevaux coiffé, il sourit à son reflets et part en direction de l'escalier. Il commence à le descendre, mais arriver à mi chemin, il s'arrête et fait chemin inverse. Il finit de remonter la pente essoufflé puis se dirige vers le chaise. Il prend la jambe de fer en soufflant, puis retourne vers l'escalier. Il le descend au pas puis pose la jambe sur la table de bois. Il se frotte les mains puis reprend la jambe et sort de la cabane. Il marche vers le box de Tylong qui n'avait toujours pas bougé d'un poil.

- Bonjour Tylong ! Je connais ton nom, on ma dit ressemant que tu t'appelais comme sa. Je suis ton nouveau cavalier. C'est moi qui vais te monter maintenant.

Mike tapota gentiment l'encolure de l'étalon qui lui répondit par un petit hennissement. L'étalon était content que, pour une fois, un homme vienne de lui même le voir, s'en s'être disputé une demie heure avant, à savoir qui irait le monter. Mike dépose la jambe fer sur le sol puis pousse le loquet de la porte afin d'ouvrir celle ci. Le jeune-homme reprend la jambe et entre dans le box de Tylong. Il prend une brosse qui était resté la veille dans la mangeoire puis brosse l'encoure de l'étalon. Il brosse aussi sous un de ses épaules puis repose la brosse sur le rebord du box. Mike prend ensuite la prothèse et attache celle-ci à l'encolure de Tylong, aplatissant quelque un de ses crins noir. Pendant ce temps, Tylong attrape du bout des dents la brosse et la dépose sur le dos du jeune homme qui s'était baissé pour bien mettre la jambe de fer a l'étalon. Surpris, Mike se redresse, faisant tomber la brosse. Tylong sourit et pousse un léger hennissement de joie. Mike finit par rigoler. Soudain, une ombre apparaît devant la porte du box. Le colonel est l tenant dans sa main gauche un longe attaché au licol qui tient son cheval. Le colonel sourit et tapote l'épaule de Mike qui s'était entre temps retournés.

- Hé bien mon garçon, bravo ! Je n'avais pas vu ce cheval s'amuser depuis son enfance. Toutes mes félicitations, cet étalon est à vous !

- Merci mon colonel, mais ce n'était pas très compliqué.

Le colonel baisse la tête puis part, suivit de son étalon pie. Celui-ci marchait derrière le colonel comme un petit chien suivrait son maître. Tylong regarde le pie nommé Moon avec des yeux pétillant. La tête de travers, il se pose pleins de question sur la vie de luxe de l'étalon. Voyant l'étalon regarder la silhouette de Moon s'écarter, il lui plante un baiser sur le bout de son museau, a quoi répond Tylong par une petit léchouille entre les deux yeux. Mike sourit puis regarde son travail. La prothèses est mise, et la sangle est attachée. Mike part a toutes vitesse vers la sellerie, laissant la porte du box-ouvert. Tylong sort une patte, mais Murphy, celui qui a beaucoup souffert quand Spirit était là, vint vers l'étalon et lui fit signe de reculer. Il ferme ensuite la porte du box puis repart. Tylong renâcle des naseaux. Il aimerait bien savoir ce que fait Mike. Cela fait à peine cinq minutes qu'il est partis, mais l'étalon veut partir de fort et aller dans les plaines sauvages. La veille, on lui a dit qu'il irait dans les plaines. Alors l'étalon avait beaucoup dormis et était désormais prêts à galoper, les crins au gré du vent.

D'ailleurs, quand on parle du loup, il arrive. Mike revient en trottinant avec un selle et une bride qu'il porte avec ses bras maigrelet. Il arrive à la porte du box de Tylong. Là, il pose sur le rebord de la porte la selle noire puis attache la bride à un crochet. Il entre ensuite dans le box de l'étalon, un tapis de selle à la main. Mike pose celui-ci sur la paille puis cherche la brosse qui avait été involontairement enfouit sous la paille. Une fois la brosse trouvé, il enlève la paille qui s'était coincé entre les crins dur. Le jeune homme se mets ensuite à brosser l'étalon de tout sont longs. Celui-ci ne peut s'empêche de souffler. Il adore sentir les poils dur de la brosse qui caresse sa robe marron. Une fois le pansage fini, Mike passe au pansage. Il met le tapis de selle sur le dos de Tylong puis enchaine en lui mettant sa selle noire. Il sangle l'étalon qui ne ronchonne pas, puis lui mets sa bride. Au début, Tylong refus d'ouvrir sa bouche. Il déteste avoir un mords dans la bouche. Ce truck en fer est très désagréable. Mais il est forcé à ouvrir sa bouche. Mike se dépêche d'enfiler le fort puis fini d'installer la bride. Il sourit à l'étalon puis lui tapote gentiment l'encolure. L'étalon s'ébroue puis regarde son cavalier aller ouvrir la porte du box. Celui-ci prend ensuite les rennes de la bride puis sort du box- suivit de près par son étalon. Tylong suit son maitre qui trottine vers la porte du Fort. L'étalon s'arrête net. Mike ne comprend pas tout de suite pourquoi Tylong ne veut pas aller dehors, puis quand celui-ci regarde l'abreuvoir, le jeune homme se rend comte qu'il n'a ni nourris ni abreuver son étalon. Il se tape le front puis cours vers l'abreuvoir, suivit de Tylong qui le suit au petit galop. Arriver à l'abreuvoir, il attache l'adolescent à un poteau et pars vers la sellerie. Pendant ce temps, Tylong plonge son museau dans l'abreuvoir et boit goulument l'eau fraiche et limpide. Mike reviens plus vite que prévus. Il marche vers l'étalon avec dans les mains un seau remplis à rebord d'avoine avec sur le dessus une carotte bien orange. Voyant ce grand festin, Tylong relève son museau et tourne s’arête vers son cavalier. Celui-ci pose le seau sur le sol et son étalon se dépêche de manger la carotte puis de manger l’avoine. Un fois le seau vide, Mike détache son étalon et monte en selle. Il dirige ensuite Tylong vers la porte. Un soldats ouvre la porte. Tylong se cabre et fil au grand galop vers les plaines sauvages.

L’étalon traverse un désert de sable, ou le soleil tapant est toujours présent. Il ne se déshydrate pas pour autant. Sa jambe de fer l’aide à galoper. Mike a du mal à suivre la cadence. Sont étalon vas plus vite que jamais, mais le jeune homme n’est jamais monté un cheval qui allait aussi vite. Remarquant ce léger déséquilibre, Tylong ralentit l’allure. Mike souffle puis se détend. Quand Tylong sent son cavalier être bien, il accélère l’allure, mais il l’accélère tellement doucement que son cavalier n’as même pas remarqué que son étalon est à la même allure qu’avant. Les deux hommes arrive donc en à peine cinq minutes au camp des indiens. Mike voulait y aller pour aller voir une fille qu’il aime bien. D’ailleurs, cette fille à une jument que Tylong adore. On peut même dire qu’il aimait cette jument. Quand il s’était rencontré, il n’y a pas longtemps, la jument n’avait pas fait attention à la patte de l’étalon. On pourrait dire qu’elle avait fait attention à ses yeux. Pour ce qui est du jeune homme, il venait souvent voir Jacob – le cavalier de la jument – pour discuter. Mais depuis que son ancien cheval est décédé, il n’était plus venu. Pour en revenir au deux hommes, ils arrivent au camp en un rien de temps. Mike arrête sont étalon qui exécute les ordres. Le jeune homme descend à terres puis passe les rênes par-dessus l’encolure de Tylong. Il emmène ensuite son étalon à un étang. Là, il attache Tylong à un arbre. L’étalon se couche au sol et ferme les yeux. Il sent son cavalier se coucher la tête sur son ventre, puis les deux hommes s’endorment. Peu de temps après, Tylong entends des bruits de sabots. Il ouvre les yeux et se lève doucement, réveillant involontairement son cavalier. L’estropier regarde à l’horizon puis voit la silhouette d’une jument. Il avance les oreilles, regardant la silhouette d’un air intriguer puis reconnaît Toundra, la jument de Jacob. Il gratte du sabot puis hennit tout en levant la tête. Il s’ébroue ensuite et regarde son cavalier. Mike, comprenant l’étalon, détache celui-ci puis lui dit qu’il peu y aller. Tylong remercie Mike en fourrant son museau dans son col puis se cabre et part au grand galop vers Toundra. Arrivé au côté de la jument, il s'arrête puis la salue en levant et baissant sa tête, faisant volet sa crinière de crins noirs.

- Toundra ! Tu vas bien ? Sa fait tellement longtemps !